
Au moins 160 personnes ont trouvé la mort ce week-end dans le nord du Burkina Faso, dans une attaque attribuée aux jihadistes, rapporte The Guardian. Cette attaque, perpétrée dans la petite ville de Solhan dans la nuit de vendredi à samedi, est la plus meurtrière depuis le début des violences jihadistes en 2015. Un deuil national de 72 heures a été décrété par le président Roch Marc Christian Kaboré, qui a dénoncé une attaque “barbare” et “ignoble”. Le Secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres s’est pour sa part déclaré “indigné”.