
Le constructeur français a « cédé à la pression », affirme Newsweek. Renault faisait face aux critiques du gouvernement ukrainien depuis le début du conflit. Quelques heures avant l’annonce du groupe, Volodymyr Zelensky se plaignait de la situation dans une vidéo adressée aux députés français, citant également Auchan et Leroy Merlin. « Ils doivent cesser de sponsoriser la machine de guerre russe. Les valeurs comptent plus que les profits », a souligné le président ukrainien. Grâce à AvtoVAZ, Renault contrôle 30 % du marché automobile russe et emploie 45 000 personnes, précise Newsweek.